Claire PERSET

Claire PERSET
	Claire Perset succède à Francis Pourbagher comme directrice de cabinet de MANUEL Aeschlimann à Asnières-sur-Seine fin octobre ou début novembre 2006. C'est une amie de Marie-Dominique Aeschlimann. études de droit passage à l'institut d'études judiciaires visite Sciences Po (dont elle sort en 2004) Claire Parset s'intéresse aux "enjeux français". Elle a écrit des articles qui font la promotion du libéralisme dans une publication, Société Civile. Ella a travaillé pour Gouverner.com qui se prétend une espèce de think tank libéral qui se penche sur les blocages, le développement de concepts de propagande, la constitution de réseaux dans la société civile. Ce qu'elle pense de Nicolas Sarkozy : «celui que l'on présente comme le «chantre du libéralisme» en France, Nicolas Sarkozy, ne prendrait pas la moitié des mesures figurant dans le programme d'Angela Merkel, même s'il existe selon lui une "identité de vue totale" entre son parti et la CDU ... Ce que les deux principaux partis politiques allemands ont compris, la gauche française refuse de le comprendre et la droite gaulliste le comprend mais n'a pas le courage de l'appliquer.» (Société Civile n°51 d'octobre 2005). Index des pages Wiki Connexion

Claire Perset succède à Francis Pourbagher comme directrice de cabinet de MANUEL Aeschlimann à Asnières-sur-Seine fin octobre ou début novembre 2006. C'est une amie de Marie-Dominique Aeschlimann.

études de droit
passage à l'institut d'études judiciaires
visite Sciences Po (dont elle sort en 2004)

Claire Parset s'intéresse aux "enjeux français". Elle a écrit des articles qui font la promotion du libéralisme dans une publication, Société Civile.

Ella a travaillé pour Gouverner.com qui se prétend une espèce de think tank libéral qui se penche sur les blocages, le développement de concepts de propagande, la constitution de réseaux dans la société civile.

Ce qu'elle pense de Nicolas Sarkozy : «celui que l'on présente comme le «chantre du libéralisme» en France, Nicolas Sarkozy, ne prendrait pas la moitié des mesures figurant dans le programme d'Angela Merkel, même s'il existe selon lui une "identité de vue totale" entre son parti et la CDU ... Ce que les deux principaux partis politiques allemands ont compris, la gauche française refuse de le comprendre et la droite gaulliste le comprend mais n'a pas le courage de l'appliquer.» (Société Civile n°51 d'octobre 2005).